Une lune de miel, c’est souvent la promesse de farniente, de plages et de lagon… Pas pour William. Avec sa compagne, il a préféré troquer le transat contre les temples de Kyoto, l’effervescence de Tokyo et les rizières d’Ubud. Une combiné de deux pays, d’aventures, de saveurs et de surprises pour un voyage de noces aussi unique qu’inoubliable.

Pourquoi avoir choisi de combiner le Japon et l’Indonésie pour votre voyage de noces ?

C’est deux pays qu’on voulait faire, mais pas forcément ensemble,  ni pour une lune de miel. Et puis finalement, on s’est rendu compte que ça fonctionnait très bien, que les connexions étaient simples. Ça nous permettait de faire deux choses très différentes : une première partie très riche en visites, en culture, avec le Japon ; et une seconde plus calme, plus balnéaire, avec l’Indonésie. C’était hyper complémentaire.

Quelle était la durée du voyage et comment avez-vous réparti le temps ?

On est partis 18 jours, moitié-moitié : 9 jours au Japon, 9 jours en Indonésie. Pour ce qu’on voulait faire, c’était parfait. Après, c’est vrai que 9 jours au Japon, c’est un peu court. C’était notre premier voyage là-bas, donc on s’est surtout concentré sur les incontournables. Mais si on voulait aller plus loin, il aurait fallu au moins deux semaines, sans combiner avec une autre destination.

Quel itinéraire avez-vous suivi au Japon ?

On a atterri à Osaka, où on a passé une demi-journée à l’arrivée. Puis on est directement partis pour Kyoto, où on a fait trois nuits. Depuis Kyoto, on est allés à Nara sur une journée. Ensuite, direction Tokyo pour cinq nuits, dans un hôtel à Shinjuku. Et pendant notre séjour dans la capitale, on a pris le train pour aller voir le Mont Fuji. On a fait une balade à vélo autour du lac, c’était dingue. Le Mont Fuji, c’est d’ailleurs le paysage le plus fou qu’on ait vu. On y est allés un jour un peu nuageux, mais c’était encore plus beau, presque irréel. Franchement, les paysages au Japon m’ont beaucoup plus impressionné qu’en Indonésie. J’ai trouvé que c’était hyper contemplatif : les temples, les jardins… C’est très fort visuellement, très apaisant. On avait loué des vélos autour du Mont Fuji, la balade a duré deux heures. C’est un souvenir qu’on n’oubliera jamais.

Et côté gastronomie, vous avez fait de belles découvertes ?

La nourriture au Japon, c’est un moment à part entière. On a mangé comme jamais. Il y a un dîner à Tokyo qui nous a particulièrement marqué : un chef préparait les sushis devant nous, en direct. Voir la précision, la technique, c’était fascinant. J’ai aussi redécouvert le ramen là-bas. J’en mangeais peu avant, mais là j’en ai goûté sous toutes ses formes. Et puis les onigiri ! On allait au Seven Eleven, on s’achetait ça pour grignoter dans la journée. À 1€, c’était notre petit rituel.

Quel a été votre itinéraire une fois arrivés en Indonésie ?

On a atterri à Bali, après une escale à Singapour. On a commencé par trois nuits à Ubud, puis on a enchaîné avec cinq nuits à Jimbaran, dans le sud, côté plages. Entre les deux, on a aussi fait un crochet par Java, pour gravir le Mont Ijen.

Qu’est-ce qui vous a le plus plu en Indonésie ?

Clairement, la partie Ubud. Côté rizières, nature, culture… c’était plus authentique, plus impressionnant visuellement selon nous. Et puis l’hôtel Four Seasons à Ubud… incroyable. On a été surclassés, on avait une villa avec piscine privée. C’était un moment d’euphorie. Le volcan Ijen aussi, ça a été une expérience unique. On est partis le soir, puis réveillés à 3h du matin pour l’ascension. On est arrivés pile pour le lever du soleil. Après vingt minutes, la fumée a tout envahi. C’était pile le bon timing.

Une anecdote qui vous fait encore sourire aujourd’hui ?

Le scooter à Bali… Je m’étais dit que ce serait plus simple pour se déplacer, vu les bouchons. Mais je n’en avais jamais vraiment fait. Les débuts étaient un peu chaotiques. La prise en main, entre les voitures, les scooters, c’était sport ! Et puis rentrer en scooter au Four Seasons, c’était assez cocasse. Je crois qu’ils ne sont pas trop habitués à voir leurs clients arriver comme ça..!

Quels contrastes vous ont le plus marqué entre les deux pays ?

Très peu de points communs en dehors de la chaleur. En septembre, il faisait plus de 30 degrés dans les deux pays. Mais sinon, tout est différent : la culture, la gastronomie, l’accueil. Le Japon, c’est plus réservé, moins ouvert à l’anglais. En Indonésie, les gens sont d’une gentillesse incroyable. Je crois que c’est le peuple le plus chaleureux que j’ai rencontré. Et puis le rythme n’a rien à voir : au Japon, on faisait 20 000 pas par jour, on était tout le temps en train de visiter. À Bali, on prenait le petit-déjeuner à 10h, on se baladait en scooter, on se relaxait dans des piscines privées.

Quel conseil donneriez-vous à ceux qui préparent leur lune de miel ?

De ne pas hésiter à combiner deux pays très différents, surtout si les vols sont simples. Ça fait un voyage dense, mais tellement riche. C’est une vraie économie aussi. Plutôt que deux allers-retours, on optimise. On est passés de Kyoto à Tokyo, puis à Bali, au volcan Ijen… En 18 jours, c’est fou ce qu’on a vécu.

Enfin, quelle est la première image qui vous vient quand vous repensez à ce voyage ?

L’arrivée à Ubud, sans hésiter. On était au Four Seasons, et on a été surclassés : une villa avec piscine privée rien que pour nous. Ce moment-là, en ouvrant la porte, c’était vraiment euphorique. On s’est regardés en se disant : « ok, là on vit un truc de fou ». Et puis il y a aussi ce coucher de soleil entre Bali et Java, sur le bateau, juste avant l’ascension du mont Ijen. Le ciel s’est embrasé, c’était irréel. Et évidemment, le Mont Fuji… incroyable.

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