Où partir en juillet ? 5 destinations coup de cœur

Lorsqu’en Europe, les plages de Méditerranée sont gagnées par les touristes internationaux et les voyageurs d’été, avez-vous pensé à regarder plus loin ? À gagner d’autres horizons ? En juillet, il n’y a pas que sur notre beau continent qu’il fait bon vivre. Un monde d’expériences nouvelles nous attend. Découvrez nos 5 destinations plus ou moins inattendues, pour savoir où partir en juillet cette année. Grands espaces, eaux turquoise et rencontres en pleine savane sont au programme ! Oser l’ailleurs pour un voyage d’été inoubliable !

Hawaii

On commence notre liste sur les chapeaux de roues avec Hawaii, LA destination pacifique parfaite pour le mois de juillet. Au sud, l’océan devient calme, idéal pour nager avec les tortues à Lanikai (elles sont là toute l’année, mais plus visibles entre mai et septembre), explorer les coraux de Molokini ou pagayer entre les îlots volcaniques de Kailua. La force de l’archipel, c’est sa diversité, et chaque île propose une expérience différente. Sur Big Island, on randonne entre les cratères du Kīlauea, on marche sur des coulées de lave du parc national des volcans, on observe les étoiles depuis le Mauna Kea à plus de 4 000 mètres, on découvre des plages de sable noir où les tortues viennent se réchauffer.

Maui, c’est l’île du road trip. La route de Hana, avec ses 600 virages, traverse forêts tropicales, cascades, jardins botaniques, avant de grimper jusqu’au sommet du Haleakalā. Le lever du soleil là-haut est une expérience en soi. Oahu, plus peuplée, ne se limite pas à Waikiki. En juillet, les baies de Lanikai et de Kailua offrent des conditions parfaites pour le kayak et le paddle. Le North Shore, loin de la saison des gros rouleaux, se découvre à pied, en toute tranquillité. Et puis il y a Kauai. Toujours aussi spectaculaire, avec ses falaises de la Nā Pali Coast qu’on longe en catamaran ou à pied sur le Kalalau Trail. À l’intérieur, le Waimea Canyon étonne par ses reliefs rouges et verts, un paysage qu’on n’attend pas ici.

La bonne idée : combiner Hawaii avec Los Angeles ou San Francisco, pour couper le voyage, et découvrir deux villes mythiques de la côte californienne.

L’Afrique du Sud

On continue avec l’Afrique du Sud, une destination qu’on recommande vivement en juillet. Pourquoi ? C’est l’hiver austral : les températures sont fraîches le matin et en soirée, douces la journée, et même si quelques pluies peuvent tomber autour du Cap, le reste du pays reste sec. C’est la haute saison pour les safaris : les animaux sont plus faciles à repérer, l’herbe est rase, les points d’eau se font rares donc stratégiques.

L’un des parcours qu’on affectionne particulièrement chez Oovatu commence au Cap et se termine dans la savane, via la célèbre Garden Route. On découvre la Table Mountain, les vignobles de Stellenbosch, les falaises du Cap de Bonne-Espérance, avant de longer la côte vers Hermanus (où les premières baleines se montrent dès fin juillet), Knysna, les ponts de Tsitsikamma, jusqu’à Port Elizabeth. Le voyage se termine en beauté dans une réserve privée du parc d’Amakhala : safaris matin et soir, guides passionnés et nuits dans des lodges isolés…

L’itinéraire qu’on recommande : Aventure Sud-africaine, du Cap à Port Elizabeth, une vraie progression du littoral vers la savane, sans multiplier les vols.

Le Canada

Troisième option : le Canada, vaste et très contrasté, à aborder par deux entrées très différentes. Côté Est d’abord, le Québec offre en juillet des conditions parfaites pour randonner dans les parcs nationaux (Hautes-Gorges, Jacques-Cartier), naviguer sur le fjord du Saguenay ou observer les baleines au large de Tadoussac. Les orignaux, les ours noirs, les castors ne sont pas loin, surtout dans les réserves fauniques du nord. Et puis il y a les haltes : les marchés de Charlevoix, les microbrasseries de la Côte-Nord, les vignobles des Cantons de l’Est…

Côté Ouest, les Rocheuses sont spectaculaires : les lacs glaciaires d’un bleu magnifique sont complètement dégagés, les wapitis et les mouflons s’observent facilement autour de Jasper ou de Lake Louise. Les randonnées dans les vallées ou les forêts de cèdres rouges restent accessibles, même sans expérience poussée. La route entre Banff et Jasper : un vrai paradis pour les amateurs de road trip (conseil : se lever assez tôt pour éviter les foules). Et puis, il y a Vancouver — on peut y passer quelques jours à vélo, manger face à l’océan, partir en kayak depuis Deep Cove ou prendre un ferry pour l’île de Vancouver…

Notre conseil : Impossible de tout couvrir dans un pays près de 18 fois plus grand que la France, il faut choisir. On a rassemblé plusieurs idées d’itinéraires et de séjours chez Oovatu, ainsi qu’une sélection d’expériences à ne pas manquer ici : les 10 incontournables pour un voyage au Canada, de quoi trouver chaussure à votre pied.

Les Bahamas

En juillet, l’archipel des Bahamas entre dans sa saison chaude et humide, mais les alizés rendent la chaleur supportable, les averses sont souvent courtes, et les voyageurs bien moins nombreux qu’en hiver. La température de l’eau avoisinne les 28 °C, la visibilité est excellente pour le snorkeling comme pour la plongée bouteille. C’est la période idéale pour explorer les récifs peu profonds, les trous bleus, et croiser tortues, raies, requins-nourrices et poissons tropicaux.

Les Exumas restent un point fort : 365 îlots, la plupart inhabités, que l’on découvre en bateau à la journée. On s’arrête sur des bancs de sable en plein océan, on nage avec les fameux cochons, on croise des iguanes, et parfois même des requins citron. Sur Eleuthera et Harbour Island, on goûte au vrai farniente : plages roses, maisons en bois pastel, pas grand-chose d’autre à faire que lire, nager, marcher… À New Providence, on profite de Nassau pour sa facilité d’accès, ses restaurants, et quelques belles adresses bien situées à Cable Beach ou sur Paradise Island.

L’option à considérer : partir en juillet, c’est éviter les foules, profiter de tarifs plus souples. Pour un combo ville + lagons, pensez aussi à ajouter quelques jours à Miami.

Le Botswana

Dernière idée pour un mois de juillet mémorable : le Botswana, pour son climat sec et c’est surtout l’un des meilleurs moments pour observer les animaux. Pas besoin d’aller les chercher longtemps : ils sont là, concentrés autour des points d’eau. Dans le delta de l’Okavango, qui reçoit ses plus grandes crues à cette période, on circule en mokoro entre les îlots, les éléphants, les aigrettes et les crocodiles. À Chobe, on suit la rivière en 4×4 ou en bateau — idéal en fin de journée, quand les troupeaux se rassemblent sur les berges. Plus au sud, les pans de Makgadikgadi offrent un décor totalement différent : un immense désert de sel, où apparaissent des zèbres, des autruches, et des suricates dressés sur leurs pattes. Et pour ceux qui veulent commencer ou finir le voyage en beauté : les chutes Victoria ne sont qu’à une heure de route depuis Kasane.

L’itinéraire à envisager : le trio Delta de l’Okavango, Chobe, Makgadikgadi — trois zones complémentaires, accessibles sans vols internes. Oovatu propose plusieurs circuits, prévus aussi bien pour les couples que pour les familles, avec des lodges choisis pour leur emplacement et leurs expériences.

Si vous hésitez encore, nos conseillers OOVATU sont là pour vous aider à construire un itinéraire sur mesure, adapté à la saison, votre budget, vos envies et votre façon de voyager.

Que faire et que voir aux Bahamas ? Les incontournables

Simplicité, douceur de vivre et authenticité : voici quelques mots qui résument parfaitement les Bahamas. Pourtant, lorsque l’on évoque ce pays, on imagine d’abord les grands complexes hôteliers all inclusive où se prélassent les touristes. Mais dès que l’on s’éloigne un peu de Nassau, c’est une toute autre atmosphère qui se dévoile. Celle d’un paysage paradisiaque, fait de sable fin où poussent les palmiers et d’un lagon où les poissons colorés abondent.

New Providence, l’île capitale qui fourmille d’activité

Les Bahamas se composent de sept-cents îles au total. Un des premiers noms qui vient à l’esprit lorsque l’on pense à ce vaste archipel, c’est Nassau, sa capitale. C’est là que se trouvent les grands resorts qui font le bonheur des touristes américains. Les plus connus : Atlantis et son parc aquatique, et le Rosewood Baha Mar, plus classique et tranquille. Là, on trouve tout le confort d’un séjour all inclusive de qualité, avec des établissements allant du 3 au 5*. L’endroit fera aussi le bonheur des plongeurs qui exploreront des épaves impressionnantes, peuplées de poissons exotiques. Mais pour découvrir le pays en profondeur, le mieux reste encore de ne passer que le nombre minimum de nuits à Nassau, et de séjourner ensuite sur d’autres îles. Elles se divisent en deux grandes catégories : les îles animées et les îles dites « Robinson ».

Eleuthera et Great Exuma, découverte des Bahamas authentiques

Parmi les îles animées, la plus belle est certainement Eleuthera, avec ses jardins botaniques et ses champs d’ananas. Le mieux, ici, est de séjourner au Cove, un établissement contemporain, minimaliste et intimiste. C’est aussi là que se trouve le Glass Window Bridge, un pont en bois qui surplombe l’océan et qui permet d’observer un phénomène singulier. Posé au-dessus de la barrière de corail qui cerne l’archipel (la troisième plus grande au monde), il est bordé d’un côté par une eau turquoise scintillante, et de l’autre par une mer d’un bleu marine profond.

Au sud, Great Exuma vaut elle aussi le détour. On y trouve des établissements simples mais d’un grand charme, composés de maisonnettes individuelles aux tons pastel. Le confort y est en général réduit à l’essentiel. On ne trouve d’ailleurs pas d’hôtel très haut de gamme dans l’archipel. Mais le véritable luxe des Bahamas, c’est le plaisir de vivre presque tout le temps dehors, sur de vastes plages où l’on ne croise quasiment personne. Côté cuisine, là aussi, la simplicité règne. La spécialité incontournable est la salade de conques, un coquillage rosé emblématique du pays. Pour reconnaître une salade de qualité, il faut regarder la taille des aliments : plus ils sont coupés finement, plus elle sera bonne.

Andros et Harbour Island, une tranquillité hors du temps

Après quelques nuits sur une île animée, une île Robinson permet de goûter à un sentiment de déconnexion unique. Parmi elles, Andros, lieu préservé et paradis des oiseaux. C’est là que se trouve l’hôtel Tiamo, un véritable bijou. On arrive par bateau et l’on découvre ainsi, accompagné par le seul clapotis de l’eau, une plage magnifique, près de laquelle viennent nager les requins nourrices. Comme toutes celles du pays, qui met un point d’honneur à protéger son environnement, elle est modestement aménagée, avec seulement quelques transats posés face à la mer.

La nature préservée des Bahamas permet aussi des sorties snorkeling inoubliables. Dans le lagon peu profond, on croise tortues, raies et barracudas. On peut également s’approcher des trous bleus, vastes grottes sous-marines d’où jaillit une eau fraiche, mais dans lesquelles seuls les plongeurs confirmés s’aventurent. Côté terre, la végétation, mélange étonnant de pins et de palmiers, est intacte et forme un paysage sauvage. On retrouve cette atmosphère authentique sur la petite Harbour Island, au large d’Eleuthera. Là-bas, le sable se pare de nuances de roses et les voitures sont interdites. Dans l’unique village de l’île, composé de maisons peintes en rouge, bleu et vert et où chaque habitant se salue aimablement, on est au plus proche de ce qui fait l’essence de la douceur de vivre caribéenne.

Pour organiser votre prochain voyage aux Bahamas, contactez les spécialistes des Caraïbes chez OOVATU par téléphone au 01 83 777 007 ou sur www.oovatu.com.